L´histoire du Château de Schönbrunn est connu depuis le Moyen-Age. Le château se trouve à Hietzing à l’ouest du centre-ville de Vienne. Auparavant se trouvait à cet emplacement le Katterburg, propriété du maire de Vienne. En 1569, Maximilien II du Saint-Empire acheta le terrain, où se trouvent aujourd’hui les parcs et différents bâtiments. Il montra un certain intérêt pour le zoo qui venait d’être créé, et essaya d’y apporter en plus des plantations d’espèces végétales rares. Le Katterburg était entre autre propriété de l´abbaye de Klosterneuburg. Les années suivantes apparaissaient beaucoup de tenanciers différants, parmis eux aussi en 1548 le maire viennois Hermann Bayer. Ce dernier laissait en autre aggrandir la propriété et transformer en manoir.
En 1569 la propriété passait en possession de la dynastie des Habsbourgs, de Maximilian II, et avec elle aussi un moulin, une étable et un jardin d´agréement et fruitier. Cette aquisition posait à la suite les bases pour un domicile représentativ et en même temps pour un jardin d´agrément et zoologique. L´empereur aimait beaucoup le cheveaux de rasse éspagnole et exercait une influence décisive sur la création de l´école d´équitation courtoise en 1572 à Vienne. Le nom Schönbrunn est attribué à l’empereur Matthias, qui aurait découvert lors d’une excursion à la chasse une source particulièrement belle (en allemand, schöner Brunnen « belle fontaine »).
Après la mort de Ferdinand II en 1637 la propriété passait en possession de la veuve de l´empereur, Eleonore de Gonzage, qui menait ici une vie très mondaine. En 1642 elle laissait construire un château de plaisance dont le nom changeait à l´avenir de Katterburg en Schönbrunn. En l´an 1683 les turques dévastaient la pluspart des monuments viennois, entre autre l´école d´équitation courtoise et le château de plaisance de Schönbrunn. Après la victoire sur les turques Leopold Ier prenait la décision de construire un bâtiment neuf pour le prétendant au thrône, Joseph Ier.
L’empereur Léopold Ier avait confié à l’architecte Johann Bernhard Fischer von Erlach la conception d’un nouveau palais qui se voulait le Versailles autrichien. Le premier projet livré en 1693, trop utopique et excessivement chèr, n´avait par été pas retenu. Puis venait une idée plus petite et réaliste. La construction débutait en 1696, et trois ans après, les premières festivités se tenaient dans la partie centrale du palais. Malheureusement, peu de parties du château avaient survecu car au cours du siècle suivant, chaque empereur avait modifié partiellement le bâtiment.
La reconstruction de l´école d´équitation délabrée avait été réalisée entre 1729 et 1737 lors de la construction de l´école d´équitation d´hivers dans la Wiener Hofburg pour le compte de l´Empereur Karl VI et selon les plans de l´architècte Joseph Emanuel Fischer von Erlach.
Le Château de Schönbrunn était entre autre la résidence pour Wilhemine-Amalie et elle avait laissé amènager sa chambre, nommé „Rösselzimmer“, avec des tableaux de cheveaux, qu l´on peut admirer jusqu´à ce jour.
L´Empereur Karl VI avait acheté en 1728 toute la propriété, mais y avait passé son temps seulement pour la chasse aux faisans. Finalement il avait offert le château à sa fille Marie- Thérèse, qui aimait le château et ses alentours depuis qu´elle l´avait vu pour la première fois. Une brillante époque avait commencé pour le château et Schönbrunn était devenu le centre pour la vie courtoise et politique.
La victoire sur ses adversaires lors de son entrance an gouvernement en 1742 avait été fêtée avec le fameux caroussel des dames dans l´école d´équitation d´hiver. Le peintre Martin van Meytens avait saisis l´évènement sur un tableau, que l´on peut admirer encore aujourd´hui dans la nommée „salle du carrousel“. Il représente un carrousel de dames que Marie-Thérèse avait organisé en 1743 à l’Ecole d’équitation d’hiver de la Hofburg pour fêter la reconquête de Prague lors de la Guerre de Succession d’Autriche.Dans l’Ecole d’équitation d’hiver, maintenant l’École d’équitation espagnole, vous pouvez aujourd’hui encore assister aux célèbres représentations de chevaux lipizzans. Au centre du tableau, vous apercevez Marie-Thérèse chevauchant un lipizzan à la tête de ses dames d’honneur. Sur les ordres de l’impératrice, l’architecte Nikolaus Pacassi avait redessiné l´ancien pavillion de chasse en château de résidence dans le style rococo.
En hiver 1742 avaient commencé les premières préparations pour une grande réstructuration du château et l´aménagement du parc avait trouvé l´apparence qu´il a aujourd´hui. Nikolaus Pacassi avait mené la première phase de réstructuration (1743 et 1749) de la salle d´audience et de l´aile de l´ouest du futur paire d´impérateurs. Peu à peu avait été rénové l´ escalier central du côté du „Ehrenhof“ pour faire place au rez-de-chaussée à une traversée centrale. Au dessus avait été construit la grande et la petite galerie. Les deux galeries dans le centre du château offrait désormais la possibilité d´ accueillir des invités, d´organiser des festivités, pour des réunions de famille dans un rond plus intime on pouvait utiliser la petite galerie. Il manquait pourtant encore dans cette première transformation la décoration en stuc riche et le plafond des fresques dans les deux salles.
Entre outre on avait rénové les arcades de connexion le long des ailes côté le long de la cour principale, qui - connu sous le nom Ailes Cavalier - avait servi pour accueillir le personnel des tribunaux de rang supérieur. Par la suite, on avait créé une grande restauration qui mène vers Meidling (y compris l’Orangerie) et Hietzing. Le Château de Schönbrunn devait toutefois garantir le logement et l´alimentation de plus de 1500 personnes. Sur demande explicite de l´Impératrice Marie-Thérèse avait aussi été construit dans l’aile nord de la cour un théâtre, qui avait été solennellement inauguré en 1747. En reconnaissance de ses bons services, Pacassi avait été nommé architecte de la cour en 1749.
Les travaux de la deuxième phase d’extension (1752 - 1765) n´étaient non seulement limitée à la création de plus d’espace et à l’extérieur, mais aussi ils se concentraient sur la décoration des salles de représentation. Après la mort soudaine de l’empereur Franz Stephan I en 1765, l´Impératrice Marie-Thérèse était tellement touchée et une nouvelle période de restauration suivait. L’impératrice veuve laissait restaurer plusieurs salles dans l’aile est du palais, en mémoire de l´Impérateur, et n’avait épargné aucune dépense pour leurs fournir de précieux panneaux de laque chinoise et des lambris de bois précieux, qui ont survécu jusqu’à aujourd’hui. Le rez de chaussée se trouve maintenant la salle dite „Bergi“, décorée avec des peintures de paysage exotique, où elle avait passé tout son temps pendant les mois chauds d’été jusqu’à sa mort.
Le château de Schönbrunn était resté inhabité après la mort de l´Impèratrice Maria Theresia et seulement au début du 19ème siècle L´Impérateur François Ier l´avait utilisé comme résidence d´été. A cette époque Napoléon Ier avait occupé le château deux fois, la première fois en 1805 et la seconde fois en 1809. Napoléon avait alors habité alors quelques pièces de François Ier dans l´aile de l´oust.
Le 14 octobre 1809 fût signé le contract de Schönbrunn, ce qui signala en suite le fin de la campagne d´Autriche contra Napoléon Ier.Une époque était terminée.
Lors du Congrès de Vienne en 1814 et 1815 le Château était dans un état désolant. Au cours des travaux de restauration, l´Impérateur François II/Ier entre 1817 et 1819 avait laissé restaurer la fassade du château et avait engagé l´archècte Johann Aman. Ce dernier avait laissé enlever toute la conception rococode Pacassis et laissa peindre la fassade en jaune typique de Schönbrunn, nommé aujourd´hui „jaune Schönbrunn“, sinon avec peu d´ornements.
François -Joseph naît le 18 août 1830 au Château de Schönbrunn. François-Joseph est l’aîné d’une fratrie de cinq. Il a trois frères et une sœur. Pour le jeune Empereur était Schönbrunn sa demeure préférée. Il hâbitait l´aile de l´est jusqu´à sa mort le 21 novembre 1916. On laissait les chambres représentatives sans les changer, tandis que les chambres privées avaient été aménagées. Le meublage que l´on peut voir encore aujourd´hui démontre le style prosaïque et bourgeois de François Joseph.
A l´occasion du mariage prévu avec Elisabeth de Habsbourg-Hongrie an l´an 1854, on avait laissé aménager un appartement dans l´aile de l´est, dont le salon constituait le centre de l´appartement. Le salon de réception d’Élisabeth doit son atmosphére exceptionnelle aux boiseries blanc et or, aux tentures de soie claire et aux superbes meubles de style néo-rococo. L’horloge devant le miroir est dotée d’un cadran inversé qui permet de lire l’heure dans le miroir.
Les pastels du XVIIIe siècle qui ornent cette pièce méritent qu’on s’y attarde. Ils représentent les enfants de Marie-Thérèse et sont attribués à des peintres renommés, entre autres au peintre genevois Liotard, que Marie-Thérèse appréciait particulièrement.En 1869 avaient eu lieu plusieurs restaurantions et les traveaux s´étalèrent sur les deux galéries et les pièces le de l´aile de l´ouest. Les murs avaient été décorés de tapisseries luxurieuses que l´on peut admirer encore aujourd´hui. La petite galerie se trouve du côté jardin du château et était réservée aux fêtes d’anniversaire et aux fêtes patronymes célébrées en famille. Elle offre une vue splendide sur le parc et sur la Gloriette, qui fut érigée encore du temps de Marie-Thérèse.
Depuis sa dernière restauration, la petite galerie a retrouvé ses murs blancs polis d’origine, datant du XIXe siècle.